Jacques Mougenot, dans un exercice de style qu’il affectionne tout particulièrement, la rhétorique humoristique, narre la création du monde. Il n’y va pas par quatre chemins, il commence par le commencement.
Car on termine en général par la fin et que la fin du monde, même si elle est annoncée, n’est pas pour tout de suite et qu’une heure c’est trop court pour tout raconter. Comme au commencement était le verbe… Les sujets et compléments vont s’unir au verbe pour parler de Dieu, du monde, de la nature, des créatures, de la femme, de l’homme et de plein d’autres choses qui n’ont rien à voir, quoique! C’est sympathique et cela s’écoute avec plaisir.
Marie-Céline Nivière